Une maison de la littérature pour Québec, architecture et/ou scénographie ?
Des maisons de la littérature, en Europe et de par le monde, reçoivent des écrivains en résidence depuis le XIXe siècle. Dans le but de confirmer la ville de Québec dans son statut de haut lieu de la création littéraire, l’Institut canadien de Québec s’est orienté vers un type programmatique nouveau, une première au Canada, s’inspirant d’institutions similaires qui ont ouvert leurs portes récemment (Oslo, 2007, Genève, 2012). Ce concept de l’ère numérique est explicité à l’aide d’une analogie à la fois obscure et éclairante : « un lieu qui est à l’écriture ce que la bibliothèque est à la lecture ». La maison de la littérature du XXIe siècle, tournée à la fois vers la mémoire et la création, associe aux résidences d’écrivains des espaces publics pouvant accueillir des événements et des expositions autour d’une littérature qui s’écrit et se lit sur des supports numériques. Selon les termes du programme, il s’agit d’un lieu « unique en son genre et toujours surprenant » qui doit provoquer chez l’usager « une sensation de jamais vu ».
La concrétisation de ce projet prend place dans l’ancien temple Wesley, déjà occupé par l’Institut Canadien qui y installa la première bibliothèque publique de la ville en 1946. Construit en 1848 sous la direction de l’architecte Edward Staveley, l’édifice de style néogothique, classé au registre du patrimoine culturel du Québec, impose une présence forte dans le Vieux-Québec ainsi que dans l’histoire culturelle de la ville. Installer la Maison de la littérature à l’intérieur de ses murs constitue un double défi architectural : comment concilier les qualités spatiales exceptionnelles du temple avec une expérience du lieu censée renouveler l’imaginaire littéraire ? Comment affirmer la présence d’une institution culturelle du XXIe siècle tout en respectant le caractère monumental d’un édifice historique ?
Certains éléments de la description du concours préfigurent les réponses possibles à ces questions. « Aucun agrandissement n’est prévu dans le cadre du concours et les travaux se limitent essentiellement à l’intérieur de l’enveloppe existante. » Les équipes d’architectes devaient aussi travailler leur proposition en collaboration avec un scénographe. On pourrait comprendre, à la lecture du programme, que la réponse attendue est une mise en scène spatiale contenue à l’intérieur de l’enveloppe du temple qui propose au visiteur une expérience sensorielle et interactive. Parmi les quatre équipes sélectionnées, trois ont répondu à cette attente, tandis que les architectes montréalais Chevalier Morales et le scénographe Luc Plamondon, lauréats du concours, ont adopté une position différente.
Les équipes Éric Pelletier, avec GSMPRJCT°, et Brière Gilbert + In Situ, avec Plante, ont abordé la question de l’expérience du lieu avec la notion de parcours. Ce projet prend la forme d’une succession de séquences thématiques où, selon les termes des concepteurs, architecture et scénographie entretiennent une relation « symbiotique ». Des tableaux, passages et alcôves, présentant chacun une ambiance spécifique sont amalgamés en un labyrinthe tridimensionnel. Ce dispositif autonome occupe le volume disponible, entretenant une certaine indifférence pour l’architecture de l’édifice existant, réduit à une simple enveloppe. Le jury, séduit par les qualités scénographiques de la proposition, a été rebuté par le manque d’adaptabilité de ce dispositif où « tout est mesuré et calibré afin de produire les effets escomptés, dans une séquence riche qui, en contrepartie, s’avère plutôt inflexible. » Dans le projet de Brière Gilbert, In Situ et Plante, le parcours se déploie autour d’un vide central, guidé par un « ruban scénographique » et interactif, à la manière d’un fil d’Ariane. Malgré l’emphase placée sur la verticalité de l’espace de circulation, le volume intérieur du temple est restreint par l’ajout de deux nouveaux planchers et deux circulations verticales cloisonnées, structures jugées « spatialement envahissantes » par le jury.
Les architectes Ramoisy Tremblay, en collaboration avec Moment Factory ont développé un rapport radicalement différent entre architecture et scénographie, avec un dispositif basé sur l’immatérialité des nouvelles technologies de communication : un « marque-page » électronique distribué à chaque visiteur. La légèreté de l’intervention architecturale reflète ce minimalisme, créant un espace dégagé où la déambulation libre s’effectue au gré des individualités. Les programmes connexes étant dissimulés dans le sous-sol et les combles de l’édifice, les seuls éléments qui semblent ajoutés à l’édifice original, sont le café, utilisant la figure d’un pont suspendu dans le volume de la nef, et les vitrines, jouant le rôle d’interface entre intérieur et extérieur. Du fait de ce manque de tangibilité, le projet a été évalué par le jury comme « trop conventionnel » pour faire de la Maison de la littérature un « projet d’exception ».
La force de chacune de ces trois propositions repose sur l’adéquation entre le concept scénographique et le parti architectural qui en découle. Ces démarches de conception symbiotiques, pour reprendre les mots d’Eric Pelletier, bien qu’elles répondent parfaitement aux attentes du programme, n’ont pas permis d’assurer la confrontation avec les qualités exceptionnelles du temple de Staveley. Chez Chevalier Morales, la conception du projet débute avec un geste architectural fort et risqué : là où tous les autres candidats ont accommodé la résidence d’écrivains et les zones dédiées à la création dans des espaces résiduels, ils ont choisi de placer ces programmes dans une annexe accolée au bâtiment existant. Par ce choix audacieux, les lauréats partaient avec au moins deux avantages : la possibilité de dégager entièrement l’espace principal du temple et celle de signaler la nouvelle institution culturelle par l’ajout d’un bâtiment icône, la « lanterne urbaine », sans prendre le risque de dénaturer l’existant. Soulagé de cette surcharge programmatique, le projet se développe de manière évidente entre les deux niveaux existants, reliés par deux larges trémies. Les installations scénographiques d’une matérialité riche se distinguent nettement du cadre architectural blanc et épuré. Plutôt qu’une relation de symbiose, on trouve une relation de complémentarité où les dispositifs scénographiques tirent parti de la volumétrie du temple pour augmenter les dispositifs architecturaux. Un concours d’architecture est toujours l’occasion de confronter une question à différentes propositions architecturales. Dans le cas de la Maison de la littérature de Québec, la situation exceptionnelle offerte par la réhabilitation de l’église Wesley interroge la fréquente surdétermination du parti au moment de la programmation. Ainsi, la prescription « Aucun agrandissement n’est prévu dans le cadre du concours et les travaux se limitent essentiellement à l’intérieur de l’enveloppe existante » aura fait la fortune de ceux qui s’en sont détournés. On ne peut que saluer l’initiative d’associer les compétences d’un scénographe à celles de l’équipe d’architecte, dès les premières esquisses du projet. Cependant, certains des résultats de ce concours montrent une orientation du parti architectural en faveur d’une réponse d’ordre plus scénographique. Chevalier Morales et Luc Plamondon, dont la proposition a fait l’unanimité parmi les membres du jury, ont réussi la convergence entre les qualités architecturales du temple et les qualités scénographiques du projet en répondant hors des bornes imposées par le programme. La littérature valait bien une telle inflexion de la commande.
Description du concours
Le projet de Maison de la littérature de L'Institut Canadien de Québec, à réaliser dans l'ancien temple Wesley situé au 37, rue Sainte-Angèle dans l'arrondissement de La Cité-Limoilou, fait l'objet du présent concours. Le concept sous-jacent au projet, décrit dans le programme, conduira vraisemblablement à une première réalisation du genre au Canada. L'expérience des lieux est liée à l'écriture et aux imaginaires littéraires. La Maison de la littérature est un lieu d'inspiration, de création littéraire, de rencontre et d'animation pour le milieu littéraire, ses créateurs et le grand public. Elle se détache nettement du modèle d'une bibliothèque quant au programme et à la mise en scène des espaces.
Le programme couvre une superficie nette d'environ 1 500 m2, ce qui correspond à peu près à la superficie qu'offre l'édifice existant. Aucun agrandissement n'est prévu dans le cadre du concours et les travaux se limitent essentiellement à l'intérieur de l'enveloppe existante.
(Extrait du programme)
Le jury confirme, à l''unanimité, sa décision finale et désigne lauréat du concours :
Chevalier Morales / Luc Plamondon.
Cette prestation a rapidement capté l'attention du jury pour la clarté du concept et le caractère inattendu des stratégies qu'elle propose. Les concepteurs ont fait le pari audacieux de projeter en-dehors du bâtiment existant, dans un volume annexe ajouté, certains éléments du programme, dans le but de dégager le plus vaste espace possible au coeur de la Maison de la littérature. Les bénéfices d'une telle stratégie sont très bien exploités et ce, à plusieurs égards :
- La Maison de la littérature devient un véritablement un lieu de rencontre, qui prend racine autour du bistro littéraire surmonté d'un espace dégagé, reprenant à la fois l'esprit de la vocation cultuelle du bâtiment d'origine et de la fonction théâtrale qui a suivi. Le bistro s'exprime ainsi comme un élément clé du projet, conformément aux intentions exprimées dans le programme. Sur ce point, la prestation est, de loin, la plus convaincante du lot. Aménagé en prolongation de l'espace urbain et en contact immédiat avec l'entrée, le bistro devient le lieu d'articulation des autres espaces publics.
- Les accès et circulations des différents usagers sont habilement planifiés. La répartition des fonctions offre une grande flexibilité d'occupation et un fort potentiel d'adaptation pour les années à venir et ce, sans compromettre la majesté du volume principal ni l'intégrité du bâtiment existant. Ce dernier est peu touché par les travaux, grâce à l'annexe qui le décharge d'interventions lourdes.
- L'annexe contribue à donner un visage contemporain à L'Institut Canadien, mettant en évidence la création littéraire et ses divers dispositifs. La complémentarité du petit volume ajouté (pensé comme une lanterne urbaine) et du vaste espace du temple (éclairé de l'intérieur par un luminaire très théâtral) pourrait produire un effet saisissant, tant en ce qui a trait aux perceptions immédiates qu'aux l'interprétations de cette manière d'intervenir sur le patrimoine bâti. Le projet déborde ainsi de ses besoins propres, pour engager un dialogue avec son milieu.
- La scénographie, inspirante, s'inscrit en support à l'architecture, laquelle n'est pas dépendante des dispositifs scénographiques, mais en tire profit. Les rapports architecture / scénographie sont cohérents, ouverts et équilibrés, laissant présager plusieurs déploiements possibles. Le traitement neutre des surfaces intérieures offre la perspective d'une ambiance sereine et enveloppante, en contraste avec le caractère austère actuel. Les contenus seront mis en valeur dans cet « écrin blanc. »
- Le projet rencontre bien les objectifs de coûts et les superficies qui figuraient au programme.
En dépit de ces qualités et de plusieurs autres qui ont fortement milité en sa faveur, ce projet devra évoluer afin d'atténuer quelques faiblesses relevées par le jury, parmi lesquelles figurent l'inconvénient acoustique des aires communicantes, une certaine congestion des espaces à l'intérieur et autour de l'annexe ainsi que des détails aménagement intérieur à bonifier. Ces quelques problèmes peuvent être réglés sans remettre en question la vigueur et la grande clarté du concept proposé, unanimement applaudi par le jury.
Éric Pelletier/ GMSPRJCT Daniel Brie
Bien que plus complexe que le projet précédent, à plusieurs titres, celui-ci a également capté l'attention du jury, en raison notamment de la forte adéquation des concepts architecturaux et scénographiques qu'il sous-tend et de la richesse des espaces, des parcours et des expériences qu'il suggère. La présentation en audition a été particulièrement appréciée, mettant en évidence les qualités des lieux créées, qui tiennent en partie à une scénographie omniprésente. Les espaces sont riches et diversifiés, même poétiques par endroits. Cette planification soignée a cependant un revers, celui justement d'être précise et de conditionner très fortement l'aménagement, au point où le jury se demande comment il pourrait évoluer. Tout est mesuré et calibré afin de produire les effets escomptés, dans une séquence riche qui, en contrepartie, s'avère plutôt inflexible. Plusieurs dispositifs architecturaux et scénographiques ont séduit certains membres du jury, par exemple le bistro littéraire en suspension comme la scène de théâtre ou la chaire d'une église, mais pour d'autres, une telle position en bout de parcours contredit l'intention exprimée dans le programme d'en faire le cœur de la Maison de la littérature. Le bistro perd ainsi tout rapport immédiat avec l'espace public, en extension de l'espace urbain. Aussi, le prolongement délibéré des parcours, bien qu'intéressant du point de vue des découvertes, occasionne plusieurs inconvénients, dont celui de ne pas pouvoir maximiser l'utilisation de l'espace. Le long tunnel qui conduit aux niveaux supérieurs, depuis l'entrée, n'a pour sa part pas convaincu l'ensemble du jury, tous s'entendant pour dire que les inconvénients d'un tel parcours, étroit et forcé, dépassent l'intérêt qu'il pourrait offrir au plan des perceptions. Enfin, le renouvellement possible des expériences, considérant la configuration prédéterminée de l'espace, a soulevé des questions pour lesquelles les réponses n'apparaissaient pas évidentes.
En définitive, les efforts de ce finaliste pour mettre en scène la littérature sont fort louables et ont été appréciés du jury, bien qu'ils aient conduit à une réponse plutôt rigide et complexe. Le jury reconnaît également, dans ce projet, la reprise compétente des qualités de plusieurs bibliothèques récentes qui mettent l'accent sur les découvertes séquentielles des espaces. Paradoxalement, ces attributs rapprochent la Maison de la littérature de ces modèles, alors qu'il était souhaité s'en éloigner.
Plante et Gilbert Brière/ In situ
Ce finaliste avait déposé, en première étape du concours, un dossier de candidature particulièrement convaincant. La prestation déposée témoigne, à plusieurs titres, de l'expérience du finaliste dans la conception d'espaces culturels aménagés dans des bâtiments existants. On y trouve un foisonnement d'idées, qui ne semblent cependant pas encore stabilisées dans un concept achevé, même si la prestation est particulièrement détaillée. Le résultat a été qualifié de « complexe » et de « compliqué » par le jury, l'espace étant fortement occupé par de nouvelles structures jugées spatialement envahissantes. L'analyse de la prestation a révélé plusieurs contradictions ou, à tout le moins, soulevé des questions en ce sens. Par exemple, si la forme émancipée des ajouts intérieurs appuie le thème de la « liberté », le jury considère les aménagements plutôt contraignants. Le « ruban », qui guide l'usager dans la découverte des espaces de la Maison de la littérature, matérialise bien un fil directeur, mais il n'arrive par à compenser le caractère labyrinthique des lieux. L'intention de générer une verticalité spatiale est bien exprimée, mais il résulte, de la succession de grands plateaux horizontaux, un espace plutôt fragmenté. Le jury se questionne aussi sur l'évolution possible des lieux, considérant une telle fragmentation des espaces. Par ailleurs, il a été relevé que la gestion des accès et des circulations des différents usagers de la Maison de la littérature s'avèrerait assez difficile, occasionnant des coûts d'opération plus élevés. Le caractère surchargé des planches accentue l'impression, selon le jury, qu'une synthèse restait à trouver. Le dessin est compétent, mais suggère des tensions visiblement irrésolues. Les petites perspectives sont apparues plus porteuses des qualités du projet que les grandes, dont les ambiances ont été questionnées, plus particulièrement celle du bistro littéraire qui est inspiré de la tradition anglaise. La galerie des portraits d'auteurs aurait eu une forte présence dès l'entrée de la Maison de la littérature, mais le caractère plutôt permanent de l'installation a conduit le jury à émettre des réserves à ce sujet. L'aménagement du grand parvis a quant à lui été très apprécié du jury, qui a souligné l'intérêt d'une telle ouverture de la Maison de la littérature sur la rue, en extension du hall d'entrée.
Ramoisy Trembaly/ Moment Factory
Comme la prestation lauréate, celle-ci propose de dégager le volume existant du temple Wesley. « Le vide est créé : c'est le principe de l'évocation ». Le bistro, qui prend place au milieu de la nef d'origine du temple sans y toucher, procure à la fois une lecture immédiate du volume original et résout le problème des rapports constructifs entre l'ancien et le nouveau. Il y a là un propos éminemment compatible avec l'esprit du lieu. Cette stratégie, moins invasive et plus simple au plan spatial que celles des deux autres projets finalistes, permet à la fois la préservation des acquis et un ouverture aux changements futurs. Le choix de surélever le bistro littéraire s'accompagne toutefois d'au moins deux contraintes majeures, qui ne semblent pas simples à résoudre selon le jury : a) la faible visibilité du bistro littéraire vu en contreplongée depuis les autres fonctions et, par extension, depuis le hall d'entrée et l'espace public; b) les difficultés de contrôler l'acoustique des lieux, dont les problèmes sont amplifiées par l'ampleur du vide autour du bistro et par le plafond concave qui le coiffe. Du point de vue scénographique, le concept a soulevé de l'intérêt, mais aussi des discussions au sein du jury. Le « marque-page » individuel présente, pour certains, une avancée intéressante, en misant sur une technologie contemporaine, accessible et peu coûteuse. Les usagers ne sont pas contraints par un aménagement particulier qui découle normalement d'une approche scénographique plus traditionnelle, mais ils sont libres d'aller où ils veulent quand ils le veulent, pour vivre leur propre expérience de la littérature. Pour d'autres, cette solution esquive la question de la scénographie des lieux, la reléguant à un dispositif technologique qui n'est pas particulier à la Maison de la littérature. Du point de vue architectural, le concept a été jugé approprié au lieu, bien qu'un peu trop conventionnel en rapport aux ambitions exprimées dans le programme de faire de la Maison de la littérature un projet d'exception.
Rédigé pour le jury par : Jacques White, architecte – conseiller professionnel du concours. Cette version finale intègre les modifications demandées par le jury suite à l'émission d'une version préliminaire à son intention.
(Tiré du rapport du jury)
Jury | Jean-Pierre LeTourneux, Architecte |
| Philippe Lupien, Architecte |
| Benoit Milord, Gestionnaire |
| Jean Payeur, Directeur général |
| Rhonda Rioux, Directrice de services municipaux |
| Anne Vallières, Architecte |
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Comité technique | Annie Blackburn |
| Yves Couture |
| Dominique Garon |
Candidatures
18-mai-11 Publication de l'avis de concours
2 juin 2011, 14h15 Date et heure limite d'inscription
03 au 10 juin 2011 Période de questions
03 au 17 juin 2011 Période de réponses aux questions
28-juin-11 : Dépôt des dossiers de candidature
29 juin au 3 juillet 2011 : Analyse des dossiers de candidature par le jury
05-juil-11 : 1er séance du jury
06-juil-11 : Décision du jury transmise à la Ville de Québec
07-juil-11 : Annonce des finalistes
Prestations
09-août-11 : Transmission de la convention et de l'attestation de signature
09-août-11 : Visite du temple Wesley
10 au 23 août 2011 : Période de questions
17 au 30 août : Période de réponses aux questions
13-sept-11 : Dépôt des prestations
Semaine du 19 septembre 2011 : Analyse des prestations par le comité technique et le jury
26-sept-11 : Audition des finalistes
26 et 27 septembre 2011 : 2e séance du jury
28-sept-11 : Annonce de la décision du jury aux finalistes
05-oct-11 : Prise d'acte de la décision du jury par la Ville de Québec
Semaine du 5 octobre 2011 : Annonce des résultats du concours
Dès l'annonce des résultats : Diffusion des résultats du concours
Semaine du 10 octobre 2011 : Attribution du contrat au lauréat
Desloges,J. (2009). Maison de la littérature de Québec: l'Institut Canadien revampé, Cyberpresse. Repéré à http://beta.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/la-capitale/200906/10/01-874549-maison-de-la-litterature-de-quebec-linstitut-canadien-revampe.php
Ville de Québec. (2011). Appel de candidatures. Repéré à www.seao.ca
(2011). Une nouvelle Maison de la littérature pour Québec, L'actualité. Repéré à http://www.actualitte.com/actualite/monde-edition/international/une-nouvelle-maison-de-la-litterature-pour-quebec-29246.htm
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Salvet,J-M. (2011). Dix millions de dollars pour la Maison de la littérature, Le soleil. Repéré à
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Doyon, F. (2011). La Maison de la littérature, signée Chevalier Morales architectes, Le Devoir. Repéré à http://www.ledevoir.com/culture/livres/334004/la-maison-de-la-litterature-signee-chevalier-morales-architectes
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Ordre des architectes du Québec. (2011). Communiqué. Maison de la littérature: dévoilement de la firme lauréate du concours d'architecture
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Fortin, D. (2011). Une première Maison de la littérature au pays à Québec en 2013, Québec Hebdo. Repéré à http://www.quebechebdo.com/Actualites/2011-02-24/article-2277701
(2011). Une maison pour les auteurs à Québec, Radio-Canada. Repéré à http://www.radio-canada.ca/regions/Quebec/2011/10/20/008-maison-litterature-quebec.shtml
Gouvernement du québec. (2011). 10,3M$ pour la transformation de l'édifice de l'institut canadien de québec en Maison de la littérature. Repéré à http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Fevrier2011
Ville de Québec. (2011). Communiqué. Maison de la littérature: dévoilement de la firme lauréate du concours d'architecture. Repéré à http://www.ville.quebec.qc.ca/actualites/fiche_actualites.aspx?id=1125
Ville de Québec. (2011) Résultats du concours. Repéré à http://www.ville.quebec.qc.ca/citoyens/arts_culture/maison_litterature
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